Face au tollé international, le ministère des Affaires étrangères soudanais a annoncé que la jeune femme qui a refusé d'abjurer sa foi serait libérée dans les prochains jours, sans préciser si les charges seraient maintenues.
Quelques heures plus tôt, le Premier ministre britannique David Cameron avait appelé le gouvernement soudanais à annuler la condamnation à mort de la jeune femme, fustigeant une peine «barbare». Le 19 mai, son gouvernement avait convoqué le chargé d'affaires soudanais à Londres à propos de cette condamnation. La France et les Etats-Unis avaient aussi condamné le jugement, alors que l'ONG de défense des droits de l'homme Amnesty International s'est déclarée «horrifiée» en exigeant la libération immédiate et inconditionnelle de la jeune femme.
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