La décision du président américain Donald Trump de sortir de l'accord sur le nucléaire iranien de 2015 plonge la communauté internationale dans l'incertitude.
En annonçant mardi lors d'une allocution télévisée depuis la Maison Blanche le retrait pur et simple des États-Unis de l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien (JPCoA), Donald Trump ouvre une période d'incertitude quant aux ambitions atomiques de Téhéran et de vives tensions avec ses alliés européens. Une option radicale dénoncée avec force par Téhéran et ouvertement regrettée par Paris, Londres et Berlin, qui ont promis de sauver le compromis de 2015. La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni se sont dits mardi «déterminés» à continuer à appliquer l'accord nucléaire iranien, tout en travaillant à en négocier un nouveau, plus large. «Nous resterons parties au JCPoA» déclarent dans un communiqué commun Emmanuel Macron, Theresa May et Angela Merkel. «Nos gouvernements restent déterminés à assurer la mise en œuvre de l'accord et travailleront à cet effet avec les autres parties qui resteront engagées», disent-ils, en «maintenant les bénéfices économiques» au profit de la population iranienne. «Nous exhortons les États-Unis à faire en sorte que les structures du JCPoA soient gardées intactes et à éviter toute mesure qui empêcherait sa pleine mise en œuvre par les autres parties», insistent les trois pays européens, alors que Donald Trump a laissé entendre que les États-Unis sanctionneraient désormais tout pays commerçant avec l'Iran. Les trois dirigeants expriment aussi «regret et préoccupation» après la décision de Donald Trump de se retirer d'un accord qui «revêt une importance particulière pour notre sécurité partagée», estiment-ils. La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni se sont dits mardi «déterminés» à continuer à appliquer l'accord nucléaire iranien, tout en travaillant à en négocier un nouveau, plus large. «Nous resterons parties au JCPoA» déclarent dans un communiqué commun Emmanuel Macron, Theresa May et Angela Merkel. «Nos gouvernements restent déterminés à assurer la mise en œuvre de l'accord et travailleront à cet effet avec les autres parties qui resteront engagées», disent-ils, en «maintenant les bénéfices économiques» au profit de la population iranienne. «Nous exhortons les États-Unis à faire en sorte que les structures du JCPoA soient gardées intactes et à éviter toute mesure qui empêcherait sa pleine mise en œuvre par les autres parties», insistent les trois pays européens, alors que Donald Trump a laissé entendre que les États-Unis sanctionneraient désormais tout pays commerçant avec l'Iran. Les trois dirigeants expriment aussi «regret et préoccupation» après la décision de Donald Trump de se retirer d'un accord qui «revêt une importance particulière pour notre sécurité partagée», estiment-ils. Lire la suite.