Les États-Unis vont inaugurer, lundi, leur ambassade à Jérusalem. Ce transfert, depuis l’ambassade de Tel-Aviv, concrétise la promesse faite le 6 décembre par le président Donald Trump. La cérémonie hautement symbolique a lieu lundi prochain, le jour du 70e anniversaire de la création de l’État d’Israël.
Bye bye Tel Aviv, Hello Jérusalem. Alors que l’inauguration de l’ambassade américaine dans la ville sainte n’aura lieu que lundi 14 mai, les diplomates américains ont pris un peu d’avance. Depuis jeudi, le compte Twitter officiel a été renommé USEmbassyJerusalem en lieu et place du USEmbassyTelAviv.
Les États-Unis vont inaugurer, lundi, leur ambassade à Jérusalem. Ce transfert, depuis l’ambassade de Tel-Aviv, concrétise la promesse faite le 6 décembre par le président Donald Trump. La cérémonie hautement symbolique a lieu lundi prochain, le jour du 70e anniversaire de la création de l’État d’Israël.
Bye bye Tel Aviv, Hello Jérusalem. Alors que l’inauguration de l’ambassade américaine dans la ville sainte n’aura lieu que lundi 14 mai, les diplomates américains ont pris un peu d’avance. Depuis jeudi, le compte Twitter officiel a été renommé USEmbassyJerusalem en lieu et place du USEmbassyTelAviv.
Plus tôt dans la semaine, des panneaux de signalisation indiquant la direction à suivre pour l’ambassade américaine, en hébreu, arabe et anglais, avaient été installés dans la ville. Une initiative saluée par le Musée des amis de Sion.
Un nouveau bâtiment en 2019
Ce déménagement, décidé par Donald Trump au mois de décembre, a lieu le 14 mai, jour anniversaire des 70 ans de l’État hébreu. Un transfert symbolique dans un premier temps puisque c’est l’actuel consulat américain qui va être promu ambassade. Un espace réduit qui abritera seulement les bureaux de l’ambassadeur, qui partagera encore son temps entre Jérusalem et Tel Aviv. Un nouveau bâtiment doit sortir de terre courant 2019.
Des manifestations lundi et mardi
Ce transfert est hautement symbolique. Pour les Palestiniens aussi. Il arrive la veille du 70e anniversaire de la Nakba, ou "grande catastrophe" : l’exil de quelques 700 000 Palestiniens vers les pays voisins.
L’annonce du président américain avait déjà provoqué des protestations massives en Cisjordanie, à Gaza mais aussi dans de nombreux autres pays musulmans. Lire la suite.